Abaporu
Dans la peinture, on peut voire un ensemble très simple de figures: un homme qui a un corps très grand, avec une tête trop petite, un cactus et quelque chose qui ressemble à un soleil, bien delimité, dont la coleur jeune ne se mélange pas avec le fond d’arrière d’un ciel bleu. En fait, ce n’est pas un soleil, mais une fleur, germée du cactus. Cela est evident si on se rend compte que la lumière du soleil vient de l’exterieur de l’écran e se reflete dans le corps et dans le cactus. Les coleurs son vives e contrastées. On peut voire que cet homme qui est assis sur l’herbe, de biais, tourné vers la droite, est representé de telle manière que la tête, le rational, n’a pas d’importance en comparation avec l’enorme bras e la grande jaume, conectés a la terre. L’artiste, ont dit les critiques, a voulu mettre l’accent sur le travail du corps plus que sur le travail intelectuel. On peut penser que l’oevre propose une antropofagie du Penseur, de Rondin. Au lieu d l’homme qui pense, l’homme qui mange.
Tarsila do Amaral a etudié à Paris dans les années 1920 et a été amie de Fernand Léger et Albert Gleizes, entre autres peintres associés au mouviment cubiste. Cette influence est présent dans cette peinture, par la voie de structuration des volumes dans des plans interconectés, qu’elle a apris des